J’ai fait un rêve.

J’ai fait un rêve où la profession vétérinaire embrassait l’IA non pas comme une menace, mais comme un allié. J’ai fait un rêve où chaque clinique, chaque soignant, pouvait s’appuyer sur une intelligence artificielle responsable, pensée avant tout pour alléger la charge mentale des équipes et améliorer le soin apporté aux animaux. J’ai fait un rêve où la technologie ne nous remplaçait pas, mais nous renforçait. Où elle ne dictait pas, mais assistait. Où elle ne se substituait pas à notre intuition, mais l’enrichissait. J’ai fait un rêve où l’IA anticipait la souffrance avant qu’elle ne survienne, où elle alertait au lieu de subir, où elle devenait un outil de prévention plutôt qu’un simple constat. J’ai fait un rêve d’une technologie écologique, ergonomique, accessible à tous les vétérinaires, indépendamment de leur structure, de leurs moyens, de leur localisation. J’ai fait un rêve d’une profession tournée vers l’avenir, où l’humain conservait la maîtrise, où l’éthique guidait l’innovation, où l’intelligence artificielle nous permettait d’être plus humains que jamais. J’ai fait un rêve d’une médecine vétérinaire personnalisée, attentive aux besoins spécifiques de chaque animal, parce qu’aucun algorithme ne remplacerait jamais le lien unique qui nous unit à eux. J’ai fait un rêve où la technologie renforçait la confiance, tissait des ponts entre les équipes et les propriétaires d’animaux, créait une relation plus sereine, plus fluide, plus efficace. J’ai fait un rêve où la profession vétérinaire devenait un modèle d’intégration réussie entre l’intelligence humaine et l’intelligence artificielle. Ce rêve, nous pouvons le réaliser.  Ensemble.